QUE SE PASSE-T-IL A DOUALA ? par Michel Épalè

QUE SE PASSE-T-IL A DOUALA ?   par Michel Épalè

                                                   QUE SE PASSE-T-IL A DOUALA ?

 La capitale économique d’un pays supposée être la ville phare de l’Afrique Centrale croule et s’embourbe sous un déluge de pluies diluviennes en ce mois de juillet 2023. Certes, nous sommes en pleine période de la saison des pluies mais avec un manque d’infrastructures conformes d’une véritable  République. Les Camerounais sont obligés de se rendre dans leurs lieux de travail à la nage. Quel spectacle affligeant, honteux, pitoyable digne d’un temps révolu : ainsi va le pays de bandits en cols blancs.

Plus grave encore des effondrements d’immeubles en série, avec de nombreuses victimes à la clef. Où sont donc ces représentants de l’État, les édiles en charge de la cité ? Qu’en-est-il du PLU, à croire le plan local d’urbanisme est une inconnue à Douala. Comment peut-on ainsi laisser pousser des immeubles comme des champignons, sans maître-d’œuvre, sans aucun suivi technique ? Selon les informations recueillies sur le terrain des décisions judiciaires exigeaient la démolition des immeubles en question.

CEUX QUI CONTRÔLENT LA VILLE

 

Samuel Dieudonné Ivaha Diboua gouverneur de la province du littoral, toujours absent. se fait damer tous le temps le pion par le préfet mboutou
Benjamin Mboutou alias billy the kid un préfet dans tous les mauvais coups(achat de terrains pour à sa famille,  expropriations frauduleuses,casses, y compris fausses installations des chefs de cantons dans le Wouri. ce mafieux arrogant et très cupide déjà en age de la retraite.
Mbassa Ndine Roger super maire de la ville de Douala. Très absent sur le terrain qui délivre ces permis de bâtir ?

LES HOMMES DE MAINS

Raymond Essogo un membre du cartel véreux sans foi ni loi, délégué régional de la sûreté nationale du Littoral à Douala
Jean Claude Robert Foe, membre du cartel mafieux,procureur général auprès de la cour d’appel du littoral

Comment expliquer l’irresponsabilité de ces commis de l’État, prêts à privatiser les moyens de la république pour procéder aux casses de Bonélékè-Akwa, résidence Etoké, suivi de Dikolo-Bali sans  document officiel mais « incapables » d’assainir voire de procéder à l’arrêt des travaux de ces immeubles meurtriers. De toute évidence le « pèpè-soup » est délicieux dans la région du Wouri car les enveloppes qui leur sont destinées sont conséquentes !

27 avril 2022 :  Towa, huissier de justice corrompu qui sur instruction du procureur général, dit-il, indique poursuivre l’expulsion annulée depuis le 17 DÉC 2013 – 29 avril 2022 La demeure de Me Etoke est détruite, sans aucune décision de justice ou autre justificatif ne lui ayant été présenté
DIKOLO -BALI le peuple , est abandonné à lui même. Un promoteur escroc qui a bénéficié du soutien de certains pontes de l’État, ont démoli avec barbarie tout un quartier . Malgré l’ annulation de la DUP . LES SAWA SONT DÉTERMINES  à obtenir réparations aussi bien pour BONELEKE que pour DIKOLO BALI.

Dans un contexte politique toujours plus incertain, les Camerounais doivent se donner les moyens de se défendre davantage face à ses mafieux, qui sous couvert de leurs statuts briment et violentent les filles et fils de ce pays. Ces vandales  règnent à Douala, y déambulent en toute impunité avec un mépris assumé ; il serait grand temps de mettre à fin l’impétuosité de ces fossoyeurs de la République qui mettent en danger la cohésion sociale et nationale.

Chers compatriotes éprouvés, chères familles meurtries, recevez les sincères condoléances de toute la rédaction.

       LE CAMEROUN SE RELÈVERA, LES CAMEROUNAIS VAINCRONT CES DÉLINQUANTS

Michel Épalè

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