« QUAND QUELQU’UN TE DÉPASSE, PORTE SON SAC… » a bien changé de nos jours heung…
Jeux de mains, jeux de vilains, pour les porteurs de sac des gens qui les dépassent.
Quand quelqu’un te dépasse donc, porte son sac et…
– Tu regardes dedans pour savoir…
– Tu fuis avec, pour voir…
– Nooo, tu ne portes pas son sac, il peut mettre les cailloux dedans pour que tu aies bien mal aux bras…
– Tu portes piang, et tu mets des choses compliquées dedans pour bring le ndem à la personne…
– Tu regardes bien le modèle du sac, pour aller coudre le petit modèle de ça que tes doungourous vont aussi porter…
– Tu portes son pourri sac, pendant que tu l’embrasses pour mieux l’étrangler…
– Tu regardes bien ce qu’il y a dans le sac, pour alimenter le kongossa sur ça…
– Tu portes et tu te plains partout que le sac-là pèse comme un conteneur de 12 pieds…
– Nooo, tu ne portes rien, si la personne est encore là à côté pour te tendre le sac, ça signifie qu’elle ne t’a pas dépassé hein, les vrais gens sont en haut et n’ont besoin de personne pour porter leur porte-document sophistiqué…
– Tu remplis le sac de cailloux, comme ça le jour qu’il devra porter son sac lui-même, il sera surpris heung…
– Tu remets les fardeaux de ta vie entre les mains de Jésus.
Béatrice Mendo… Je couds mon sac et l’accroche à mon épaule, l’affaire finit là.
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