Nouvelles révélations : LES FAUSSAIRES, LES FRAUDEURS, LES COMMANDITAIRES de LA CASSE à Bonélèkè

Nouvelles révélations : LES FAUSSAIRES, LES FRAUDEURS, LES COMMANDITAIRES de LA CASSE à Bonélèkè

Par  Clément Ngokobi Dikoumè

 

LES FAUSSAIRES, LES FRAUDEURS, LES COMMANDITAIRES de LA CASSE à Bonélèkè

Nouvelles révélations

Les investigations se poursuivent sur le terrain concernant l’acte ignoble d’un gang de braqueurs de terrains à Douala   la casse illégale de la résidence de Me Joêl ETOKE sans aucun document officiel, sur un faux titre foncier et les dernières révélations sont éloquentes, dignes de la sorcellerie ! Mais dans quel pays sommes-nous ? Une République de faussaires, de « silly servants » et non de «  civil servants » ? Où est passée la JUSTICE ?

Laurent Esso ministre de la justice
Eyebebayissi Ministre MINDCAF trempé dans des malversations foncieres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hallucinant ce qui se passe dans notre pays, cette Afrique en miniature tant admirée à travers le monde devenue dorénavant le terrain de jeu de prédilection de la voyoucratie de certains administrateurs, un pays dans lequel la prédation foncière fait légion  à coups de millions versés par des escrocs dits millionnaires, prétendus hommes d’affaires.

Comment expliquer que ces administrateurs véreux soient toujours en poste à Douala après ce qui s’est passé le 29 avril à Bonélèkè chez un digne fils Duala et que les Sawa ne posent pas des actes forts, ne crient pas haro sur le baudet, ne soient pas plus vindicatifs ?

Mboutou benjamin Préfet Véreux
Jean Claude Robert FOE L’homme qui dirige le côté JUSTICE

Les informations circulent toutefois en sourdine, une riposte des dignitaires Sawa se prépare car ceci est un acte scandaleux perpétré en toute impunité par des escrocs prédateurs, Douala étant devenu leur terrain de jeux fonciers.

 VIGILANCE car nul n’est à l’abri, sur UN FAUX TITRE FONCIER, les mafieux de la république ont réduit à néant l’œuvre de toute une vie. Mais la DIGNITE de Me Joêl ETOKE le fait rentrer dans l’Histoire, ceux qui avaient prévu une ambulance se sont lourdement trompés car tout le monde a compris que les comploteurs se sont enfoncés dans leur corruption, leur dépravation  instaurées par les « distributeurs » de millions en vue de s’accaparer les terrains à Douala.

direction régionale du cadastre lieu de toutes les impostures

Instrumentalisé, le  quatuor faussaires Dibonguè Motassi  Adolphe, Marc, Willem et Benoît ( homonyme de son oncle décédé suite à leurs disputes sur les millions non reçus) s’est chargé de leur donner un faux titre foncier espérant ainsi percevoir quelques millions pour leur survie. Après enquête sur le terrain ces quatre fils Motassi totalement démunis, sans profession, à la solde de leurs commanditaires; Aujourd’ui, ils se retrouvent  dans un océan de malédictions proférées par le peuple Sawa à leur égard car ils reproduisent à l’identique la malhonnêté, l’inconséquence de leur père mort dans une misère innommable après la vente des terrains ancestraux.

Ces faussaires à l’image leur père sont porteurs de gènes de fraudeurs de générations en générations.

Ces quatre malfrats vivant d’expédients  sans , n’ont pas dérogé à la règle : vendre les terrains , vivre dans un trou à souris en viager, une HONTE pour des fils Sawa !

Les noms des commanditaires ne cessent de circuler du fait des faussaires eux-mêmes, ce n’est plus une rumeur qui enfle, les fils fraudeurs s’entre- déchirent citant à l’envi : Salvador Kamga, Tiako, Ngouchingue de Congelcam , des personnages véreux qui à coups de millions arrosent les ESSOGO (le commissaire), FOE (le procureur), MBOUTOU (le prefet), DIBOUA (le gouverneur) et ces derniers sous couvert de leur statut s’autorisent l’irréparable en détruisant la résidence de Me Joêl Etoke espérant ainsi que cela serait un fait divers, un litige familial. Mais , pensant être invincibles, mal leur en a pris en rasant DIKOLO quelques jours après.

La villa de Me joel etoke

Les  Sawa refusent d’être les damnés de la terre sur leurs terres, TOUT EST VERSE DEHORS, LE FAUX ET LA CORRUPTION SONT ERIGÉS EN SYSTEME DE VALEURS, DE FONCTIONEMENT ainsi que Me Joêl ETOKE en est une victime.

Quand bien même si cela aurait était le cas, où est l’état de droit, sommes-nous dans le far-west où quelques bandits à col blancs, des mafieux sèment la terreur ? De quel droit détruit-on la résidence d’un citoyen en toute illégalité ? Sommes-nous dans une jungle où sans loi, sans éthique, sans aucune moralité ? La déshumanisation totale via corruption, via mafia.

 Au vu des informations glanées et vérifications, la Famille Etokè est propriétaire de ce terrain depuis 1931 certificat coutumier faisant foi, titre foncier de la République Fédérale du Cameroun et les faussaires Dibonguè Motassi en possession d’un titre foncier de la République Unie :  le quatuor bandits est- il incapable de  décrypter deux lignes, mais qu’en est-il de leurs bras financiers, sont-ils également illettrés ou bien s’arrogent-ils des droits ? Le crime n’étant pas parfait comme l’a si bien dit Me Etokè, leur titre foncier les condamne.

A cet effet, de son vivant leur père avait été condamné pour escroquerie pour faux  et usage de faux.

Encore MERCI à DIKOLO qui a ouvert les yeux aux SAWA, qui a  démasqué tous ces malfrats tapis dans l’ombre, en poste à Douala pour s’en mettre plein les poches. Vous remarquerez d’ailleurs qu’ils ont tous un poids éléphantesque car

la soupe est bonne à Douala, le ndolè est délicieux 

les millions rentrent sans efforts particuliers, ils préparent leur retraite sur le dos d’ honnêtes citoyens.

Le Cameroun ne doit pas être pris en otage par des criminels, des prédateurs fonciers qui ont comme seule religion l’argent, le faux et la terreur. Dans un état de droit, les fils Motassi devraient déjà être en prison, leurs bras financiers également et leur avocat canaille irresponsable radié du barreau du Cameroun. Les Motassi étant des chômeurs avérés, qui lui règle ses émoluments ? De toute évidence, les commanditaires ! Ce n’est pas Adolphe avec son petit salaire de chauffeur d’autocar qui en serait capable…

Tous les Camerounais où qu’ils soient, doivent dorénavant combattre les méthodes de cette race d’administrateurs véreux, voleurs, de leur opposer une résistance implacable, de faire valoir leurs droits de citoyens à n’importe quel prix : le peuple est souverain.

Aux Sawa, UN POUR TOUS, TOUS POUR UN et que  les notables AKWA, prennent leurs responsabilités en dénonçant ce scandale, respectons nos ancêtres car un certificat coutumier datant de 1931 signé par nos aïeux ne doit souffrir d’aucune contestation.

IL FAUT DIRE LES CHOSES, IL FAUT DIRE LA VERITE COMME NOS PARENTS et GRAND-PARENTS, IL FAUT UN NOUVEL HOMME SAWA CAPABLE DE RELEVER LES DEFIS. 

Quant  aux fils Dibonguè Motassi, qu’ils sachent  que le peuple SAWA dans son entièreté les condamne, considérés comme les

LES FOSSOYEURS du foncier SAWA à l’image de leur père, surnommé de son vivant d’après les dires de la famille  » éléma moto, muandisè ebamba  ».

 

DISONS à ces délinquants qui  malmènent et volent les terrains qu’ils répondront de leurs actes

DISONS à ces administrateurs voyous que nul ne supportera plus telle injustice

DISONS à ces faussaires que la résistance est vigoureuse avec une détermination sans faille

DISONS à ces escrocs que LE SAWA EST DEBOUT, PRET POUR LE COMBAT, PRET à MOURIR pour

SA SOUVERAINETE.

On ne peut pas désorganiser ainsi un pays, une société avec un tel programme de prédation foncière, à briser la vie des gens au nom du DIEU ARGENT

    laurent esso ministre de la justice

Un APPEL SOLENNEL au  Ministre de La Justice Laurent Esso, qu’il se saisisse de ce dossier et rétablisse rapidement Me Joël ETOKE dans ses droits face à une telle injustice. Douala est en émoi, d’une étincelle peut jaillir le feu.

DIKOLO, Me Joêl ETOKE, SAWALAND de CAMPO à MAMFE : TROP C’EST TROP, ENOUGH IS ENOUGH. LA REPUBLIQUE DOIT REPRENDRE SA PLACE de GARDIENS, de PROTECTEURS DE TOUS SES ENFANTS.

 

                                          Clément Ngokobi Dikoumè

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