03282024Headline:

L’AFRIQUE DOIT ABSOLUMENT S’UNIR par SIDIK NSANGOU

L’Afrique doit absolument s’unir, pour espérer un avenir digne, décent, raisonnable et considérablement plausible pour le continent Noir, et pour notre peuple. Normalement, si nous nous conformons au concept démocratique d’origine occidentale, et leur mode économique qu’est le capitalisme, nous remarquerons que les États Nations Africaines n’ont pas été créés par le Chancelier Allemand Bismarck, et ses alliés, pour espérer une liberté entière et totalitaire, un jour pour les africains. Même après les indépendances des années 1960.

Cela aurait été peut être envisageable, seulement si nous aurions pu obtenir notre indépendance, avant la première guerre mondiale, en 1914. Car à cause des raisons géopolitiques et stratégiques que je n’aborderai pas ici, pour des raisons subjectives, nous serions surement dans d’autres horizons.

Par ailleurs, le fait que nous ayons obtenu nos indépendances après la deuxième guerre mondiale de 1945, cela nous plaçait déjà comme des subalternes de la civilisation moderne.

Conséquemment, en nous laissant libre en 1960, cela n’avait rien de compatible avec une indépendance impartiale, sans parler de l’ingérence qui se caractérisait sur des nombreuses relations France – Afrique, en particulier les colonies Francophones. Lorsque nous savons que : sans autonomie économique, sans qualification alléchante et heuristique, sans vision et projets objectifs pour notre salut, aucune liberté, encore moins une indépendance, voire une émergence pourrait s’étaler ou envisager à l’horizon.

Après la deuxième guerre mondiale de 1945, tous les pays du monde ont réalisé l’importance d’une course indispensable, vers une autonomie économique considérable comparée à la diplomatie internationale.

Ces différentes manœuvres économiques, ainsi qu’industrielles, s’orientaient à travers la construction des infrastructures conséquentes pour le monde moderne, ou le réaménagement des anciens infrastructures européenne. Ce, en phase avec la vie moderne. Ils l’ont d’ailleurs nommé ; LE PLAN MARSHALL !

C’est alors que La France et ses alliés ont compris qu’elle ne sera jamais un pays de puissance mondiale, dans la course du nouveau millénaire, si elle ne trouvait point d’autres initiatives importantes, pour combler les pertes, et des richesses considérables qu’elle venait de perdre pendant cette deuxième guerre, face aux nazis allemands. Lesquels ont su déstabiliser l’économie et l’administration française en générale, durant leur occupation.

C’est ainsi que le Général Degaulle et son équipe, décidèrent d’appliquer les mêmes méthodes des Nazis, sur leurs anciens colonies Africaines. L’AFRIQUE FRANCOPHONE.

Étant donné que la France n’avait que ce choix, elle a décidé de nous asphyxier conséquemment à travers notre administration, ainsi que notre économie. Aujourd’hui, la seule alternative qui nous laisse paraître comme un peuple libre, ou indépendant, est le taux de natalité fulgurant qu’enregistre l’Afrique chaque jour.

L’augmentation démographique des populations africaines, est tellement constante et fascinante, qu’elle couvre un déficit considérable des vies, qui sont sacrifiées entre autres dans les différents mécanismes, mis au point en Afrique depuis les périodes coloniales. Et ce, par les anciens colons.

Ainsi, les experts et les économistes qui ne comprennent point cette stratégie, spéculent conséquemment sur les statistiques d’une pseudo-croissance dans le continent Noir. Et d’autres raisons alléchantes sont en particulier causées par l’augmentation tout simplement d’une consommation abusive et expéditive, qu’une quelconque croissance économique. parmi lesquels le bien être de notre population. Il n’existe aucune valeur ajoutée dans notre économie !

Aucune croissance ne peut être considérée ou enregistrée en Afrique de nos jours, quand bien même la Banque mondiale, dans un rapport rendu publique le 22 – Novembre – 2013 selon la Radio France Internationale (RFI), déclarait : « le taux des impôts ou les taxes les plus élevées au monde se trouvent dans le continent Africain »

Comme nous pouvons le remarquer à travers cette déclaration des responsables des bailleurs de fonds mondiaux, avec un chiffre d’Affaire croissante seulement de cinq pour cent (5%) annuel, comment pourrions nous échapper à cette tragédie économique, en considérant que les taxes qui sont prélevées sur les recettes budgétaires, sur des citoyens des États Nations Africaines, seraient conséquente ?

Quand bien même nous pourrions souligner les différentes dettes et intérêts que nous devons rembourser, entre autres parmi ces nombreux déficits.

En d’autres termes, il n’y aura jamais un mécanisme économique florissant en Afrique factuelle, sans un abandon considérable, ou un sacrifice massif de notre population. lequel doit parallèlement payer cette fracture alternativement, par leur massacre, sur des nombreuses exactions et conflits. ( Cas de L’Angola – La Cote d’ivoire – Le Rwanda etc). Lesquels parmi ces pays, ont connu une fulguration économique après les nombreuses guerres incessantes.

Ce phénomène est dû tout simplement à cause d’une absence de valeur ajoutée dans notre économie. Et ce, parmi les différents mécanismes et institutions conséquentes présentent dans notre Continent. Malgré que nous sommes les seuls pourvoyeurs des produits bruts, qui sont censés être indispensables dans la mondialisation.

Ce phénomène sur la fulguration démographique, mutilé avec l’ignorance et la vulnérabilité de nos frères et sœurs, couvre plusieurs tragédies meurtrières, génocidaires, et pathologiques dont plusieurs milliers d’Africains meurent chaque jour pour ces causes. Et par conséquent, au détriment de leurs détracteurs, qui bénéficient entre autres à travers ces pertes de vies, ou des sacrifices des âmes aux avantages des dirigeants Africains. Sans compter les chefs d’entreprises, les hommes d’affaires, et les multinationales. Lesquels occasionnent l’ensemble de ces malheurs dans leur activité.

Ce mécanisme peut se vérifier par sa complexité y relative, entre les pertes des vies vulnérables d’un coté, et les milliardaires ou les millionnaires Africains qui émergent graduellement et parallèlement de l’autre coté.

Aujourd’hui, cela devient utopique, voire anodin d’enregistrer des milliardaires ou des multimillionnaires dans un continent qui, au delà de leur effort permanent, ont à peine produit cinq pour cent (5 %) des produits de premières nécessités, pour leur propre consommation. Lequel est le même chiffre cité comme leur croissance dans l’ensemble de l’Afrique, selon les experts prompts.

Conséquemment, cinq pour cent (5%) de ce marché Africain dans lequel 4 % en générale sont départagés entre L’Afrique du Sud, L’Algérie, Le Maroc, et l’Égypte, parmi lesquels ces derniers enregistrent des recettes plausibles, toutefois sont très négligeable pour l’ensemble de notre économie.

Tandis que les 1% sont répartis entre les différents pays anglo-saxons, hispanophones et lusophones. Ceci explique le fait que nous consommons directe, ou indirectement 95% des produits importés, y compris notre devise monétaire pour le cas particulier des pays francophones d’Afrique qu’est le Franc CFA.

Ainsi, il ne peut avoir de création de richesse, dans l’anarchisme que constitue l’Afrique, si nous ne faisons point une étude objective, voire relative des vies qui sont sacrifiées, et hypothéquées dans cet amalgame économique. Car chaque projet et opportunité innovantes, sont caractérisés sur une mutualisation des activités en Afrique, et non par une rentabilité des dividendes considérables issues des activités officielle.

Toutefois, ces fonctions sont sectionnés, précédés ou échangés contre les sacrifices des populations Africaines. Ce que Les Bamilekés (Ethnies Camerounaises) nommaient « Le Fohmlah » ( L’esclavage fantômes).

C’est-à-dire l’exploitation des êtres humains, dont la contrepartie des biens matériels, des propriétés considérables, du luxe et beaucoup d’argent sont les récompenses alternatives face à ce sacrifice. Peu importe celui ou celle qui est l’initiateur (e) concepteur (e) ou l’exécutant de ce projet.

Souvenez – vous de la question posée tous les jours à travers nos lèvres : « Pourquoi l’Afrique est le continent le plus riche et en même temps le plus pauvre ?’’

Réponse : C’est malheureusement parce que tous nos chefs d’États Africains, sans exception, sont tombés dans ce piège monumental des Européens, mises en place depuis notre découpage du colonialisme. Et notre peuple est obligé de payer la contrepartie de ce pacte, pour céder aux caprices de leurs bourreaux. Lesquels leurs ont permis d’être au pouvoir aujourd’hui.

C’est un business gagnant – gagnant, ou encore appelé : « Signé un pacte avec le diable ! »

La pauvreté, l’austérité, les taxes, la sous-information, la mauvaise éducation, l’augmentation des prix des denrées de première nécessitée, la surconsommation, et surtout l’ignorance face à la vulnérabilité de notre peuple, sont ces nouveaux modes esclavagistes, que vit les Africains, sous un programme bien établit, dans le but de nous abêtir complètement dans un monde moderne, et en plus mondialiste.

Nous vivons, mangeons, respirons, faisons même des enfants, mais nos âmes (KA « propre énergie ») sont hypothéquées par cette classe politique et oligarchique. lesquelles nous contrôle à travers nos États et entreprises Africains.

En somme, les êtres humains sont devenus des valeurs d’échanges. lesquels ont remplacé les matières et les produits importants, comme des lingots d’or, consentis et certifiés par les différentes banques centrales du Monde. Car à défaut de possession de lingots d’or considérable par nos différentes Nations, nos projets de développement peuvent être crédible, ou financer seulement s’ils constituent une exploitation, voire une extermination des être humains à travers leur labeur, en particulier les Africains.

Tout simplement parce que la main d’œuvre très moins cher, ou presque gratuite est rentable, voire florissante, qu’aucun produit extrait sous la terre. Y compris, les objets précieux comme l’or, le diamant, les minerais, les matières premières convoitées par les grandes Nations de ce monde.

Au demeurant, tout a été initié, planifié, organisé, et programmé avant que nous réalisons que la liberté est un droit et non une faveur, que la justice et l’égalité sont les valeurs naturelles et non conditionnelles, et que l’union fédérale des États Nations Africaines, serait la première étape vers une liberté objective et INDÉPENDANTE de notre peuple.

Tout ce dont nous entreprenons actuellement, n’est rien d’autre que des tergiversations, et des tueries de complots contre notre peuple. ce, en échange de nos différentes activités.

Que nous soyons leader, citoyen simple, étudiant, voleur, homme politique, commerçant ou universitaire, nous contribuons plus ou moins au mécanisme de ce système, mis en place depuis 1884 – 1885 par les Européens. Donc, nous sommes tous des victimes qui contribuons relativement à notre propre destruction, depuis presque treize décennies aujourd’hui.

N’oublions pas une chose : le nombre de personne n’impressionne point devant les mathématiques ou la programmation. Que nous soyons un (1) milliard ou cent (100) personnes, ils ont un organigramme bien établit qui cordonne, organise, et exécute l’ensemble des projets qu’ils détiennent dans leur agenda pour favoriser et faciliter leur intérêt.

C’est Elijah Muhammad QUI DISAIT :

CELUI QUI TE DONNE LE DIAMÈTRE DE TA CONNAISSANCE, PRESCRIT (contrôle) LA CIRCONFÉRENCE DE TES ACTIVITÉS.

C’est pour cette raison que j’aime raisonnablement ses enseignements. Nous sommes simplement des exécutants, à travers nos différentes fonctions, qui forment notre idéologie, le caractère, et le comportement de l’homme et de la femme Africains aujourd’hui. Nous sommes toujours des colonisés. Toutes les catégories confondues.

PAIX A TOUS

SIDIK NSANG

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