La peur au ventre,
c’est comme ce chien méchant
Qui aboie sans cesse
Pour effrayer les faibles
Et les faire fuir,
Avant de les poursuivre,
Jusqu’à ce qu’il en finisse.
Reprends simplement ton courage,
Pour retrouver tout l’audace
En le fixant droit dans les yeux
Et lui rappeler sans risque d’erreurs
Qu’entre lui et l’Homme,
Qui reste le Maître de l’autre !
Et tu verras bien,
Que la Peur changera de camp
Pour que tu te libères
Et que tu lui imposes respect !
Que Dieu bénisse,
Ses braves Fils/Filles!
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