Henri Eyebe Ayissi est un homme politique camerounais qui est en poste depuis 1990 en tant que ministre, donc 33 ans dans le système crapuleux de Paul Biya. Il a été impliqué dans de nombreuses controverses liées à la corruption et à des affaires de prédation foncière. Son règne prolongé au sein du gouvernement a été marqué par des allégations persistantes de malversations financières, de détournement de fonds publics et d’abus de pouvoir.

Blanchiment, gangster foncier , corrompu, détourneurs de biens de l’état, ces qualifications tout ceci ne pourrait être moins exhaustif

En tant que ministre, Ayissi a été accusé à plusieurs reprises d’utiliser sa position pour s’enrichir personnellement et pour favoriser ses proches et associés.

Il aurait été impliqué dans des transactions foncières douteuses, profitant de sa position pour acquérir illégalement des terres à des prix dérisoires, souvent aux dépens des communautés locales et des populations vulnérables.

• • Le Moungo scandale
  • Le Koung-Khi
  • Une mangeoire a été installée au 11 étage porte 11.42 service des visas de ce grand bâtiment afin de racketter les étrangers.
  • DIKOLO-BALI dans le Wouri
  • Scandale à Missole I
    
  • KRIBI
  • Dépuis 1990 jusqu’à maintenant !(nous y reviendrons…)

          Pour ne citer que ceux la car nous en avons à foison

Ses agissements présumés de prédateur foncier ont eu des conséquences néfastes sur le tissu social et économique de certaines régions du Cameroun spécialement dans la province du littoral , contribuant à l’expropriation injuste de terres et à la dépossession de droits fonciers légitimes.

Cette situation a également alimenté des tensions et des conflits locaux, en raison du mécontentement croissant face à ces pratiques illégales et injustes.

        le scandale en date de nos jours

Une fois de plus… EYEBE AYISSI dans ses œuvres

Malgré les nombreuses accusations et les preuves circonstancielles à son encontre, Henri Eyebe Ayissi a réussi à maintenir sa position au sein du gouvernement pendant une période prolongée. Cela a suscité des critiques quant à l’efficacité des mécanismes de lutte contre la corruption et l’impunité au Cameroun, ainsi qu’à l’intégrité de la classe politique en général.