Scandale d’expropriation au Cameroun : Le gouvernement de Yaoundé complice de l’accaparement des terres de familles depuis des décennies

Au Cameroun, un scandale d’expropriation massif va secouer actuellement plusieurs quartiers de la ville de Douala, mettant en lumière une conspiration impliquant des personnalités politiques influentes, des grands hommes d’affaires de l’ombre et des présidents d’associations du sud. Le tout, au détriment de familles qui ont occupé ces terres depuis 20 à 30 ans. Les quartiers affectés par cette expropriation scandaleuse incluent New-Bell, Camp Yabassi, Nguague/Babylone, Nkongmondo, Nkoulmintag, Nkoulouloun, et bien d’autres.

Depuis des décennies, ces familles ont bâti leur vie sur ces terres, y construisant des foyers, des commerces, et des lieux de vie. Cependant, une ambition sans scrupules de la part de certains membres du gouvernement, de la première dame, de ministres influents, et de prête-noms liés à des hommes d’affaires, menace désormais ces foyers, tout cela sous le regard complice et donneur d’ordre du gouvernement de Yaoundé.

Les méthodes employées pour cette expropriation sont dignes d’un passé lointain connu des européens occupants les terres des esclaves.

Des pressions politiques et administratives sont exercées sur les résidents pour qu’ils cèdent leurs terres à des prix dérisoires, bien en dessous de la valeur réelle du marché. CA concernera ceux qui ont de titres fonciers ou des chefs de 3ᵉ degré ayant force et à qui appartiennent ces terres. Des menaces de violence et d’intimidation sont proférées à l’encontre de ceux qui vont osent résister. Les familles les plus vulnérables sont particulièrement ciblées, laissant des milliers de citoyens dans une situation précaire, sans domicile ni ressources.

De plus, les présidents d’associations du sud, censés protéger les intérêts des communautés locales, semblent avoir été cooptés dans cette entreprise malfaisante, trahissant ainsi la confiance des citoyens qu’elles sont supposées représenter. Pourtant, ils ne sont pas dans leurs contrées

LE TRAITRE

Le rôle du Premier ministre dans cette affaire est également suspect, car il ne peut ignorer les abus flagrants commis au sein de son gouvernement. Il est complice comme la dernière fois, LA Diaspora SAWA-SAWA KODA MBOA s’étant mêlée au combat a fait mordre la poussière pour une fois le gouvernement. L’on découvrait les hommes d’honneur, Les avocats Me OUM et Me JEANNE EWOUDOU EBONGUE  (paix à son âme).

QUE FAIT DONC LE SUPER DE LA VILLE ?

Le très incompétent, j’ai nommé MBASSA NDINE pourtant formé en Allemagne de 1981 à 1984, Roger Mbassa Ndine est Docteur en économie de l’Université de Mannheim (Allemagne de l’Ouest) mais toujours rien de probant ! Ce monsieur a été sénateur de la république de 2013-à 2019, résultats des courses comme disent les Allemands    » ZERO  ». En 1988, il devient expert en programmation économique et financière du FMI, mais il n’a toujours rien pondu. Une autre grosse déception SAWA

( aucun projet structurant, aucune vision politique)

Le préfet du littoral MBOUTOU BENJAMIN une fois de plus va encore s’adonner à son passe-temps favori (la destruction des populations de Douala,) et l’accaparement de leurs terres

Le tribunal administratif avait pourtant annulé tout ce désordre. Le PM avait été accusé de traîtrise envers son équipe RDPC-GOUVERNEMENT-HOMMES D’AFFAIRES, de trahison envers la population camerounaise qui mérite transparence et justice. Lui-même propriétaire foncier à Douala à des prix défiants toute concurrence ainsi que ses enfants

Le gouverneur de la province du littoral IVAHA DIBOUA complice de toutes ces forfaitures (BONELEKE-DIKOLO/BALI)  (toujours porté disparu aux décisions de sa hiérarchie y compris de son subalterne MBOUTOU BENJAMIN

Le ministre des Domaines, du Cadastre et des Affaires, foncières EYEBE AYISSI (mafieux de classe exceptionnelle), L’homme de toutes les forfaitures foncières avec 33 ans de présence au gouvernement

Le chef d’orchestre, c’est bien lui PAUL BIYA qui a toujours trahi le peuple SAWA, en tout lieu, en tout temps, et cela, depuis 50 ans

ce que je peux dire de lui bref voici son CV :

                                           VOUS N’AUREZ PAS NOS TERRES !

comme on dit chez les  SAWA:                NJOM’asu e doli

                                                                      Di kasi éwenji

En d’autres termes                 MON COMBAT EST JUSTE

                                               ET MON COMBAT EST NOBLE

Le peuple camerounais mérite de vivre dans un pays où la justice (aie !) prévaut, où la propriété est protégée, et où les intérêts des citoyens sont placés au-dessus de ceux des élites corrompues.

Charles LEBELGE