Charb

? = Valérie M femme mystère

Et ça continue. Chaud lapin ou pas le Charb ? Qui veut flinguer Jeannette Bougrab ? «Closer» donne la parole à une certaine Valérie M., qu’il présente comme le véritable amour du dessinateur de «Charlie Hebdo». Jeannette Bougrab n’a pas fini de payer, d’une part, pour son courage, et d’autre part, pour sa langue bien pendue…

Le feuilleton plutôt glauque sur la vie privée de Charb, l’ex-directeur de la publication de Charlie Hebdo tué le 7 janvier dernier par les frères Kouachi, connaît un nouvel épisode. Alors que Jeannette Bougrab avait provoqué la colère de la famille du défunt en se présentant comme la compagne du dessinateur au lendemain du drame, Closer sort une nouvelle protagoniste de son chapeau.

Dans son édition à paraître ce jeudi, le magazine affirme en effet que la vraie compagne de Charb est une certaine Valérie M. Cette personne était en couple avec le dessinateur depuis mars 2011 et c’est avec elle qu’il a passé ses deux dernières nuits, a-t-elle affirmé à l’hebdomadaire. C’est à ce titre qu’elle avait été entendue par les enquêteurs de la brigade criminelle, le 4 février.

Son appartement avait été fouillé et mis à sac

La jeune femme a raconté à Closer qu’au matin du 7 janvier, elle avait quitté le logement du dessinateur après lui. Elle y était retournée le 10 janvier avec les parents de Charb. «Son appartement avait été fouillé et mis à sac», a-t-elle expliqué aux enquêteurs dans une lettre très détaillée, que l’hebdomadaire a pu consulter.

«La partie la plus dévastée», selon elle, était le bureau du dessinateur. Ces déclarations viennent appuyer les informations transmises aux policiers par Patrick Pelloux, l’urgentiste qui collabore également à Charlie Hebdo et qui était très proche de Charb. Dans une déposition faite le 4 février, l’homme avait en effet raconté que le soir de la tuerie, Jeannette Bougrab était passée voir les parents de Charb et qu’ils lui avaient alors remis les clés de son appartement. Il avait ajouté que le dessinateur «ne lui avait jamais parlé» de Jeannette Bougrab.

source allain jules